Réseaulument différentes ? Nos agences le sont véritablement. Unique en son genre, notre réseau l’est résolument.
Au delà des effets de styles et d’écriture, il s’agit bien d’architecture. Une architecture motivée et militante, au service de l’objectif qu’elle est appelée à servir. Nous pratiquons l’architecture concertée et concernée. Concertation collective des talents de notre réseau, responsabilisation de nos équipes au travers de nos choix et de nos parti-pris qui façonnent l’architecture d’aujourd’hui.
Si nous prétendons être unique ce n’est non pas par pur fantasme ou cure d’égocentrisme – ce n’est pas ce qui anime nos actions et fait naître nos idées au quotidien – c’est pour une raison beaucoup plus simple et à l’abri de toute vanité : notre mission. Car nous nous reconnaissons comme une entreprise de missions, des agences de missions, un réseau d’agences d’architecture de missions.
Ça veut dire servir un idéal, de servir à nos clients cet idéal demain. Le monde change et évolue. Il se transforme, se crise et se crispe aussi. SPIRALE tient compte de ce qu’il et de ce qu’il devient. Nous tenons compte de ce qui peut constituer son plus profond respect ; un modèle et un esprit d’architecture au service des consciences.
Nous connaissons nos territoires, nos villes, nos cités, nos campagnes. Nous connaissons notre histoire, nos patrimoines bâtis, matériels et immatériels, nos cultures, nos coutumes.
Nous connaissons les lieux qui racontent des endroits, nous connaissons des pierres qui racontent des histoires… Nous connaissons et nous recevons de la reconnaissance, après avoir imaginé et implanté un projet d’architecture, reconnus d’avoir tenu compte de ce qui existait avant-projet voire avant nous, reconnus d’avoir tenu une promesse, celle d’une idée et de sa juste application.
La reconnaissance c’est en dernier après elle que nous courons. Nous ne courons pas, nous marchons d’un bon pas. De pas en avant, les uns après les autres à sembler connaître ce que nous avons à faire. Il faut le reconnaître, nous aimons avancer et faire avancer.
Il n’aura échappé à personne que notre Monde a bougé. Il était en mouvement et s’est mis brutalement à l’arrêt… il lui est venu l’idée de confiner. Sûr que le Monde d’après ne sera plus comme avant, tenant pour irrationnelles un certain nombre de vérités. L’architecture a mis le doigt sur l’une d’entre elles : la fragilité du non-sens.